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Encore l'amphi vu du côté "élève" !

Voici le grand amphithéâtre de la Sorbonne. 1200 places, c'est pas beau magnifique ?

Bon on ne s'en lassera jamais assez mais voici une autre photo de Mr Barthe en direction. Superbe.

Comment ne pas parlez de ce monument de la Sorbonne qu'est Vincent Barthe. THE prof of the faculty (totalement bilingue)

Biographie :

Après avoir obtenu, à l’unanimité, un Premier Prix de direction d’orchestre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, Vincent Barthe remporte en 1993 le Prix Spécial Art Vocal qui récompense en particulier la meilleure épreuve lyrique et la Mention Spéciale du Jury du Concours international de direction d’orchestre de Besançon. En 1994, il remporte également le Premier Prix du Concours International de direction d’orchestre Arturo Toscanini en Italie. En 1987, Vincent Barthe a fait partie des cinq jeunes chefs français sélectionnés sur concours pour travailler avec Leonard Bernstein. Il s’est également perfectionné auprès de Pierre Dervaux. Agrégé de musique, il enseigne à l’Université de Paris-Sorbonne (Paris IV). Il est, de 1993 à 2001, Directeur artistique de l’Orchestre et du Chœur des Universités de Paris.

En 1996, il est nommé Chef associé de l’Orchestre National des Pays de la Loire, responsabilité qu’il exerce jusqu’en août 2004 et qui concerne l’ensemble des missions de l’Orchestre : concerts d’abonnement à Nantes et Angers, productions lyriques, mais également concerts décentralisés en région et mission pédagogique (concerts commentés, concerts lycéens, étudiants). Vincent Barthe est, de 2003 à 2006, Directeur musical de l’Orchestre Bayonne Côte Basque.

A l’invitation du journaliste Yvan Levaï, il s’est produit avec cette formation au Théâtre Marigny à Paris en juin 2004. En avril 2006, à l’occasion du trentième anniversaire de l’Orchestre Bayonne Côte Basque, il a dirigé la Neuvième Symphonie de Beethoven dans le cadre des prestigieuses Fêtes musicales de Biarritz, auxquelles cette phalange n’avait pas prêté son concours depuis plusieurs années. C’est également sous son impulsion que l’Orchestre est de nouveau régulièrement invité à participer à Musique en Côte Basque, festival de réputation internationale.

Partageant ses activités entre les répertoires symphonique et lyrique, Vincent Barthe est régulièrement invité à diriger de grandes formations telles que l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, l’Orchestre National de Lille, l’Orchestre National d’Île-de-France, l’Orchestre National de Bordeaux Aquitaine, l’Orchestre National de Lorraine, l’Ensemble Orchestral de Paris, l’Orchestre des Concerts Lamoureux, l’Orchestre Colonne, l’Orchestre de Picardie, l’Orchestre de Bretagne, l’Orchestre Poitou-Charentes, l’Orchestre d’Auvergne, l’Orchestre philharmonique de Nice, L’Orchestre de Cannes Provence-Alpes-Côte-d’Azur, l’Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence, l’Orchestre symphonique d’Emilie-Romagne Arturo Toscanini en Italie, l’Orchestre du Brabant aux Pays-Bas…

Parmi toutes ces formations, Vincent Barthe entretient des relations privilégiées avec l’Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence. Il a notamment participé, en 2002, au concert anniversaire des vingt ans de l’Orchestre. Invité régulier de l’Opéra d’Avignon et des Pays de Vaucluse, il y a dirigé Don Pasquale de Donizetti, Candide de Bernstein, Norma de Bellini, Madama Butterfly et Tosca de Puccini. Il y reviendra en février 2007 pour Les Pêcheurs de perles de Bizet, qu’il dirigera également en mai 2007 à l’Opéra de Tours, et en novembre 2007 pour La Traviata de Verdi. Il a également dirigé La Flûte enchantée de Mozart au Grand Théâtre de Reims et reprend l’ouvrage à l’Opéra de Vichy en septembre 2006, avec l’Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence. Enfin, La Traviata, donnée sous sa direction à l’Opéra de Massy en avril et mai 2006, sera reprise, également sous sa direction, à Vichy, avec l’Orchestre Lyrique de Région Avignon-Provence, et à Reims en 2007.

Vincent Barthe a enregistré, avec Eric Aubier en soliste et l’Orchestre de Bretagne, les concertos pour trompette de L. Mozart et J. Haydn, chez Sony collection en 2000, ainsi que ceux de G. P. Telemann et J. N. Hummel chez Mandala, distribué par Harmonia Mundi, en 2003.

Merci Vincent.

Et puis voilà l'endroit où nous chantons vraiment, l'amphithéâtre Richelieu, le deuxième plus grand et plus bel amphi de la Sorbonne. N'est ce pas magnifique ?

Après avoir franchi la porte, nous entrons dans la cour d'honneur de la Sorbonne, lieu magnifique.

L'entrée grandiose de la Sorbonne Paris IV.

Cours de formation auditive. Début d'année, le jour n'était point encore couché. Le rang du fond, de gauche à droite, Steward, Max, Elise et Marion en pleine concentration.

Lisa, Marion et Elise en attente du métro, station Malesherbes ligne 3.

Marion et Elise dans le métro, enfin sur le quai quoi, à Malesherbes, station Ligne 3, desservi par un MRF (Matériel Roulant Férré) qui est alimenté en éléctricité grâce à des catainers et le pentographe touche le catainer afin de.........c'est beau les trains.

Le cours d'expression vocal. Mon cours en gros quoi, là où j'exprime le talent réuni de la voix, et de la musique.

Mes chevilles ? elles vont bien merci.

Voici la fac, où tout les jours ou presque je me rends afin d'étudier la musicologie et d'entrenir d'amicales relations avec les gens cités auparavant.

Voici l'entrée de la fac.

Et voici la bibliothèque de la fac, enfin une little partie (je suis bilingue)

Le petit jardin de la fac.

Claire, que dire ? Violoniste, mais surtout atchoumiste, elle excelle dans cet instrument qu'est le nez. On ne le dira jamais assez, mais on ne peut passer deux heures en histoire de la musique sans avoir droit à notre petit concert privé par Claire. Un régal. Merci encore.

Bon ben sinon un jour on va monter une sonate de Mozart pour violon et piano. (ou plutot pour Piano et violon)

Bon là derrière c'est moi, je marche vers l'endroit où je dois aller.

Marion (qui a le sourire) et moi (qui a une tête un peu chelou lol !!!)

Pris de retour de restaurant rapide américain, la pense bien remplie. Nous devisions et nous prenions photos.

Elise, ou bien alors Eloïse si tu sais plus bien comment elle s'intitule. Voilà ben Elise c'est la dessinatrice du groupement, tu dessines un mouton, elle, elle dessine une grosse falaise et ton mouton devient supermouton sans les pouvoirs et il se casse la gueule dans le fond du ravin sans crier gare de Lyon (blague pitoyable n'y prétez qu'une petite attention). Le mouton meurt dans un bain de sang digne du dernier Saw III. Hardcore.

Marion, pourquoi là elle boude ? ben l'appareil la prise à ce moment là et puis ben, c'était comme ça. Marion la bretonne, comme Lisa, tu parles mal des bretons, et jvlam, une mandale dans la poire. Quoi que Marion fait du piano et du chant. Une grande dame.

Bon là elle a pas l'air en forme (de quoi ? mouahahahah) mais sinon elle a l'art de bien vivre.

Lisa. Lisa est flûtiste (on ne peut pas être tous pianiste, il faut choisir les autres instruments aussi, même si ils sont moins bien...je vais me faire tuer je crois !!!). Lisa c'est le bonheur en continu, jamais elle est pas contente, toujours elle est (en français dans le texte). Sauf si tu commences à dire "qué lé italiens ma qué ? y son moins bon qué les français qué no ?"

Là elle devient moins contente et elle craque.

Sinon c'est ma partenaire de musique de chambre. Petite dédicace à Reicha.

Et vive la pizza !

Bon là c'était son tripe, coller des Uno de Macdo sur sa goule pour faire rire les passants, c'est sa vrai nature, d'avoir 14 ans, de conduire une voiture, sans toucher au volant, et d'aller droit dans le mur, mais lui, il y va en s'marrant...!!!

Bon le texte m'appartient alors pas touche, on copie pas.

Voici Mathieu, personnage au sens musical M-A-G-N-I-F-I-Q-U-E (il est pianiste). Tout est dit en 3 mots : il est pianiste, SUPERBE.

Moi et Thibaut lors d'un amphi, qui a la lumière derrière la tête ?? Divine ou pas, je l'ai...hé hé hé

Alors voilà Thibaut, dit l'ami de Rousseau, ou bien Couperin, enfin tout ce qui touche aux trucs baroques quoi. Claveciniste de son état (désolé) mais bon, il ne peut s'empécher de souvent venir se produire sur du vrai, du concret, du "truc de ouf", enfin un piano quoi...

Sinon que l'on se tape des supers délires ensembles enfin c'est génial quoi. Propriétaire également de mon ex-auto. Bon là il a des lunettes mais normalement, non (donc il est moins intelligent qu'il en a l'air lol) mais on le vera plus tard...

On continue avec Max (Maximilien pour les intimes) l'éminant saxophoniste de notre groupe, très très grand musicien over-demandé dans tout les coins pour des répèt' par ci, répèt' par là enfin, un pro quoi.

Bientôt également une Sonate de Creston en montage actuellement. Une beauté qu'est cette sonate.

Les gens de la fac, présentation :

Moi d'abord bien sûr :

Moi le pianiste-chanteur en mode réfléxion, je repensais au cours d'expression vocale du matin même où, bien que je fusse fatigué, je me trouva dans une position avantagée face à mes adversaires de chant que je lamina dans difficultés avec l'aide de notre onctueuse prof de chant (merci à elle).